Capture One Pro

 

Le successeur d’Aperture


Apple ayant décidé d’abandonner Aperture -avec tous les risque d’obsolescence afférents, j’ai cherché par quoi le remplacer à partir de 2015/2016.

Il ma fallait un soft capable de :

  1. -Bien développer les Raw

  2. -Permettre de la petite retouche genre poussières

  3. -Travailler la colorimétrie

  4. -Rattraper des originaux surex ou sousex

  5. -Cataloguer efficacement ma photothèque dépassant les 100 000 clichés pour 1,2 TO…

  6. -Transparence et praticité des copies de sauvegarde.

  7. -Inter plate formes : possibilité de passer d’un iMac à un MacBook air ou Pro sans souci.

  8. -Si possible, récupérer les albums, les mots clés et autres paramètres enregistrés depuis une dizaine d’années.


Capture One dans sa version 10 puis 11 a été la solution.

Je ne présente pas ici les concurrents les plus sérieux comme Lightroom ou DXO et je vous renvoie aux innombrables tests et discussions.

J’ai aujourd’hui  la C22 en version «perpétuelle».


  1. -Développement des RAW hors pair. Certains disent le meilleur…

  2. -Corrections incroyables des zones surexposées. Un cliché «cramé» peut être récupéré.

  3. -Bonne gestion colorimétrique

  4. -Récupération des albums et mots clés Aperture

  5. - Catalogage efficace

  6. -Transparence des sauvegardes de fichiers

  7. -Grande rapidité avec la version 11 sur un iMac de 2009 avec SSD de 500 GO et 8 MO de RAM (ce n’est pas une config très «pro» en 2018…)



Ses seuls inconvénients sont :

  1. -Pas d’interface directe avec l’envoi d’emails

  2. -Pas d’interface avec Facebook ou Flick’r

  3. -Un prix relativement élevé : dans les 350€

  4. -Des mises à jour pas toujours justifiées (à partir de C21)


Exemples de captures d’écran :




 

Développement des RAWs


La différence est sans appel : A gauche, Aperture (dernière version) et à droite Capture One Pro V. 11 (vous pouvez cliquer pour agrandir les images).



Autre exemple :




Le rattrapage des zones surexposées


C’est peut-être la capacité la plus extraordinaire de Capture One.
En voici un exemple sur une photo totalement ratée due à un déclenchement par erreur : aucun cadrage, aucun réglage, la vue typique pour la corbeille…

Ce cliché, nul !!, a été pris à 51200 ISO, au 1/800 et f:10. Typiquement un appui involontaire sur le déclencheur :



Après traitement de correction des hautes lumières et légère accentuation. Aucune autre correction vis-à-vis de la réduction du bruit des 51200 ISO.




N’est ce pas extraordinaire ?

Bien sûr, ces corrections extrêmes sont rares. Mais on mesure le potentiel de Capture One pour rattraper des situations impossibles ou désespérées.



 

Un logiciel extraordinaire