U ne soirée à NOLA ne peut ignorer le French quarter puisque c’est là que se concentrent la quasi totalité des cabarets de jazz. Les puristes pourront regretter l’implantation de quelques établissements dédiés à des plaisirs plus charnels que la musique, mais il semble que Nola possède aussi une tradition dans ce domaine.  Quoi qu’il en soit, chacun est libre de choisir ce qu’il préfère.

Le soir, des musiciens amateurs, souvent  très jeunes, viennent tenter leur chance devant les cabarets. Les passants les récompensent ou non d’un billet. Ce qu’ils visent est sûrement ailleurs : s’entrainer et peut-être obtenir un jour un engagement.

Dans certains cafés, on observe un retour aux racines du jazz : une musique à danser. N’est ce pas le grand Duke Ellington qui déclara un jour que les musiciens de  jazz gagnèrent une grande victoire lorsque les spectateurs consentirent à les écouter assis… Ceci dit, dans le plus célèbre cabaret de la ville, le Snug Harbor, tenu par Delfeayo Marsalis, à la fin du spectacle, les spectateurs sont invités à danser par les musiciens eux mêmes…

NOLA est une invitation permanente à la célébration du jazz. Quelle autre ville au monde a honoré un jazzman en donnant son nom à son aéroport . Celui de la Nouvelle Orléans s’appelle aussi Louis Armstrong.













Matériel : Nikon D4, objectifs Nikkor : 1,4/105 mm, 2,8/14-24 mm, 2,8/180 mm et Sigma Art, 1,4/35 mm.

Développement des RAW sur Capture One 11


 
La Nouvelle orléans
Le French quarter le soir