CHAMBON sur JEEP 2012

 
 

Après notre visite de 2011, nous avons franchi le pas et nous sommes inscrits comme «Jeeper» en 2012 au Chambon.

La même ambiance chaleureuse, beaucoup de contacts très sympathiques que nous espérons poursuivre.

Et une découverte importante : les passionnés de Jeep n’en ont pas qu’une mais plusieurs !

Pour la vie quotidienne et le travail (quelques témoignages savoureux), pour le plaisir de posséder ou de reconstituer une machine collector (comme le Docteur, alias Christian, qui est aussi producteur de - très bon- Bourgueil !), et surtout pour effectuer des parcours impossibles… 

En somme, pour le plaisir, infiniment renouvelé de rouler différemment et de connaître des aventures parfois extrêmes.

Autre découverte pour moi : Ces modèles de Jeep ne se conçoivent qu’avec des moteurs essence, de préférence très gros, c'est-à-dire de plus de 4 litres de cylindrée… Ce qui n’est pas si grave en, termes de consommation,  si l’on roule peu. Mais faire 20 ou 25 0000 km par an à raison de 12 ou 13 litres au 100, il faut oser.

Le Chambon sur Jeep 2012 fut aussi l'occasion pour moi de tester les fameux «road books» et d’avoir une fameuse frousse…

Comme je n’ ai aucune photo de ces moments exquis (je pilotais si j’ose dire…), la vue ci dessous montre un Wrangler dans une des situations que j’ai du affronter. Un torrent de boue aux ornières très profondes, des branches de chaque côté et une descente très prononcée (alors que sur la photo, c’est presque plat…).

En plus, mon Grand Cherokee étant en état standard, sans réhausse, il présentait une garde au sol un peu limite pour ce genre de situation.

Pour éviter qu’une branche ne vienne frotter ma belle carrosserie immaculée, j’ai essayé de sortir légèrement de l’ornière. Sanction immédiate de ce qu’il ne faut pas faire : mise en travers de la voiture et direction difficile à maîtriser dans la pente.

Heureusement que la boite courte, le freinage automatique et quelques connaissances basiques m’ont permis de redresser la situation sur quelques mètres, pendant que les suivants m’observaient… Ceci m’a donné l’occasion de passer là où je ne l’aurais jamais osé.

Bref, une belle expérience, payée de quelques rayures (il parait que c’est le prix à payer pour son apprentissage).

Comme l’an dernier, mais vécu de l’intérieur, j’ai redécouvert une formidable ambiance, un sens des responsabilités de chacun, bien lié aux valeurs Jeep, une bonne humeur et une convivialité exemplaires.

Bref, un excellent week end en Auvergne.

Le reportage de cette année essaie de compléter celui de l’an dernier. La boue est un beau facteur de différenciation !


Bravo aux organisateurs de Jeep Aoc et à Gilbert de Cherokee List




Matériel : Nikon D300, zoom 14/24 mm f : 2,8, 50 mm f : 1,4 et 180 mm f : 2,8.


Sur iPad et iPhone : Ne pas prendre le mode Diaporama (images trop petites) :

Faire défiler les photos une à une en tapant dessus pour avancer.



NOUVEAU : Mon livre sur le Chambon sur Jeep

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