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Jean-Luc Michel

Un projet pour le siècle qui commence…

 

En ce début de siècle (pour le millénaire, on verra plus tard !), je prends le risque de présenter ici un projet d'université libre en réseau (ULR).

Le point de départ est le constat suivant : l'université publique française souffre du conformisme, elle est malade de la bureaucratie et elle va mourir par la démagogie. En un mot, ce n'est pas d'elle que viendront l'innovation ni la créativité (cf. dans le domaine des sciences dures : d'où "sortent" les Nobels français, voir aussi ce qu'en ont dit P.-G. de Gennes ou G. Charpak par exemple).

Le présent site s'inscrit évidemment dans ce constat : l'université tourne en rond, elle procure des places aux membres de ses réseaux et ne produit plus grand chose de neuf ou d'utile en oubliant qui la paie : le contribuable. Elle s'enfonce inexorablement dans l'autoréférence. La vue des systèmes étrangers nous montre ce qui nous attend, mais malheureusement, personne - ou presque - ne réagit. D'où cette action :

L'idée - folle - qui est à la base de ce projet a été conçue pour résister à ce naufrage annoncé, elle est née au cours de discussions avec des amis de différents lieux, disciplines, opinions et origines, qu'ils en soient remerciés.

Il s'agit tout simplement de créer une "université virtuelle et en réseau" qui accueuillerait des étudiants cherchant des compétences, de l'écoute, de la disponibilité et non du "prêt à penser", du bourrage de crâne et du népotisme. En voici un premier survol :

 

 

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Commentaire

 

Avec cette partie "Projet", je frappe un peu fort !

Mais il faut dire que je me lasse des combats d'arrière garde et de la lutte à la Don Quichotte contre des moulins administratifs et politiques qui ne produisent même plus de grain.

L'enjeu est de taille : préfigurer l'université du futur en jouant à fond le réseau (entre pairs) et offrir des "prestations" à la hauteur des ambitions de recherche et de créativité qui devraient être les nôtres aussitôt que nous avons la chance de "savoir quelque chose"...

Vos réactions - favorables ou défavorables - sont évidemment les bienvenues.