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Jean-Luc Michel

Les Professions de la communication

Fonctions et métiers

 

Vente sur Amazon (15,20 €) et dans toutes les librairies (Fnac, Decitre, Le Furet, etc.)

--------Quatrième de couverture de la troisième édition---------

Devenu une référence, ce livre montre l’exceptionnelle diversité de la communication en présentant ses 280 tâches de base, ses 42 grandes fonctions et ses 30 métiers principaux sur un total de 70 qui sont décrits minutieusement.
Il illustre le dynamisme et fonde la légitimité de la communication dans toutes les organisations (grandes ou petites entreprises, associations, administrations, collectivités territoriales, etc.).
- Aux étudiants et aux lycéens, il donne la description précise de toutes les tâches en les situant dans des ensembles plus vastes comme la communication interne, externe, globale et en fournissant de très nombreuses références de formation.
- Aux enseignants, il fournit des outils pour mieux comprendre l’histoire de ces métiers, pour construire des grilles d’évaluation, aussi bien des personnes formées que des formations et offre la possibilité de définir rapidement des « profils de compétences ».
- Aux professionnels intéressés par la communication, il décrit les nombreuses passerelles entre les métiers en permettant de déterminer avec précision le profil des tâches pour mieux spécifier les besoins afin de réussir un recrutement ou une reconversion.
- Aux communicants, il apporte des outils de crédibilité décisifs et un élargissement de leurs compétences en montrant comment la communication est au cœur de la stratégie et de la vision.


Instrument unique, salué par la presse, ce livre explique comment s’insérer avec succès dans le monde de la communication en alliant développement professionnel, développement personnel et éthique.

 

REMERCIEMENTS -----------------------------------------------------------

La troisième édition m'a -enfin- donné l'occasion de rendre hommage à tous les communicants que j'ai croisés depuis des années. Je ne l'avais pas fait (à leur demande) dans les éditions précédentes pour préserver leur anonymat. Depuis 1999, les changements de postes me permettent de les citer sans interférer sur leur vie professionnelle.

Les conclusions des « Professions de la communication » sont issues de travaux de recherche menés pour vérifier que les formations que j’ai créées à Paris, Angers, Marne la Vallée, Saint-Etienne, Montpellier ou à l’étranger déboucheraient effectivement sur des emplois qualifiés et durables.
Aux étudiants qui s’interrogeaient sur leur avenir professionnel avec cette lancinante question : « Aura-t-on toujours besoin de communicants ? », j’ai voulu apporter des preuves que la fonction communication était pérenne dans une société développée et que le nouveau challenge se situait dans sa conquête de crédibilité et de légitimité, d’où les positionnements successifs des cursus que j’ai initiés. En fréquentant depuis des années le monde des communicants, j’ai cherché à faire intervenir des spécialistes reconnus et compétents, mais surtout ouverts, curieux, généreux, en un mot, humanistes. J’ai tenté d’appliquer ce principe de recrutement que m’avait fait découvrir mon vieil ami Emmanuel Sacchi : « Toujours recruter meilleur que soi ». Et tous ces intervenants me sont apparus vraiment meilleurs que moi… C’est donc grâce à eux que j’ai progressé et que nous avons diplômé plus de 1000 personnes en stratégie de communication globale à bac+4/+5.
Mes pensées vont d’abord à ces étudiants des universités de Paris 7 (ma fac), Paris 2, Paris 3, Paris 4, Paris 8, à celles d’Angers, de Marne la Vallée, de Saint-Etienne et de quelques autres en France ou à l’étranger. Leurs innombrables mémoires et rapports de stages m’ont permis de connaître à chaque fois un peu plus la réalité mouvante de la communication des entreprises et des organisations. J’ai toujours des contacts avec un grand nombre d’entre eux : ils m’apportent sans cesse les derniers éclairages sur l’évolution de la fonction communication.
Je ne remercierai jamais assez les intervenants dircoms du privé comme du public, directeurs artistiques ou de création et dirigeants d’agence : Michel Laplace, Alain Bouhey, André Chenevard (Lyon), Marc Thébault (Caen), Olivier Barbé, Max Rivière, Daniel Vallat, Jean Di-Donato, Jérôme Tessier, Patrick Françon, Philippe Gay, Brigitte Caruana (Saint-Etienne), Daniel Couriol, Dominique Hayer (Paris), Thierry Chiumino (Ogilvy Paris), Thierry Wellhoff (Wellcom Paris), Christophe Périlhou (Nantes), Jean-Marie Mulon (Château Gontier), Geneviève Manois (Montpellier), Philippe Elhaïk (Marseille), Jean-François Legat (Rive de Gier), Max Verte (St-Chamond), Jean-Luc Siégel (Arles), Catherine Moulé (Angers), sans oublier François Billaudeau (†). Leur passion communicative a initié de magnifiques parcours professionnels aux étudiants et aux stagiaires.
Ensuite, je remercie les consultants ou dirigeants de cabinets de consulting : Vincent Lenhardt (Transformance) à qui je dois tant, Pierre Barrère (Ressources et Performances), Jean-Claude Loiseau, Pierre d’Elbée, Manfred Mack, Bernard Laroche, Jean-Marc Rochette qui ont apporté leur dynamisme et toute leur expérience humaine alors que les formations que j’animai ne leur fournissaient pas toujours la reconnaissance qui leur était due… Merci de continuer à venir dispenser des cours avec autant de fraîcheur…
Une mention spéciale aux présidents de structures, directeurs de formation qui ont crû et soutenu le positionnement que je leur recommandais : Jean Devèze (à Paris 7 et Marne la Vallée, mon directeur de thèse et l’ami de toujours, hélas disparu), Christian Mayaud à Paris 8, Constantin Xypas à Angers, Gilbert Argoud et Benoît Lauras (université de St-Etienne), Jean-Louis Verdier et Annie-Ange Gaumondie pour le Cetec-Info à Paris, Jean Munster au CNAM de St-Etienne, Philippe Mondamert et Vera Brodu pour l’ENACT de Montpelier, Jean-Pierre Mandeville et Gwénola Gaudec pour le CNFPT/ENACT d’Angers, Jacques Louis Keszler et Michel Dumoulin à l’ESC de St-Etienne, Daniel Peyron à l’ESC de La Rochelle, Lionel Le Nignol à l’ESSCA et d’autres qui m’ont demandé diverses interventions pour porter la bonne parole de la légitimation de la communication.
Enfin, je veux saluer des personnes qui ont toujours soutenu mes initiatives en matière de création de cursus professionnalisants et dont la connaissance approfondie de la communication a guidé mes choix stratégiques : Alain Lebouc et son festival du Scoop à Angers, Olivier Bachelard, Philippe Goyon, Rémi Pupier, Christian Daudel, Jean-Claude Monneret, Bruno Duborgel (St-Etienne), Elisabeth Vercher-Buisson (université de Lyon), Jacques Oswald (CCI de Lyon), Yahn Mangematin, Jacques Walter (Metz), mon indéfectible amie Marie-Claude Vettraino-Soulard (Paris 7) qui a animé pendant trente ans des séminaires sur tous les sujets importants de la communication, Jacques Vigneron (Créteil), Claude Baltz (Paris 8), Jean-Baptiste Carpentier (Paris 4), Jean Cloutier et Patrick J. Brunet (Montréal), Edmonde Charles-Roux, Bernard Dimet, Pascal Martin, Jean-Pierre Chamoux, Pierre Fougeyrollas, Denis Pryen, Philippe Maarek, Gilbert Béville, François Silvain, Gérard Noël, Christian Blachas, (Paris), Didier Bouquillard, Mireille Vagné-Lebas (Bordeaux), Jean Davallon (Avignon), Michel Mathien (Strasbourg), Valérie Billaudeau, Pierre Gosselin, Abdel Chérif, Christophe Journet, Mohand Renai, Abder Nabati, Catherine Nafti-Malherbe, Jean-Marie Wallet, Olivier Dassonneville, Claudie Raimbault (Angers), Bernard Wuillième (Lyon), Claude Leboeuf (Montpellier), François Richaudeau (Lurs en Provence), Jean-Michel Saillant (Le Mans), Yana Konstantinova (Sofia), Mustapha Masmoudi, Nebila Mezghani (Tunis), Jean-Louis Brinette († Mulhouse) et ses formations d’étiomédecine qui m’ont fait découvrir que l’énergie est de l’information en mouvement.
Qu’ils soient tous remerciés. Grâce à eux, la fonction communication a sûrement un peu progressé dans sa quête de légitimité en France.
Je ne peux oublier ma famille avec un fils dans la communication-marketing et une fille dans le marketing-communication, à moins que ce ne soit le contraire…Je n’y suis pour rien, c’est leur choix ! Et une compagne qui me fait comprendre chaque jour que la communication c’est aussi une conquête toujours renouvelée.
Plus de communication, c’est plus d’intercompréhension.
Et peut-être plus de bonheur.


L'introduction (2008)

La conclusion (2008)

Les critères de choix d'une (bonne !!) formation à la communication

La table des matières - version 2004 -Version 2008 à venir

 


NOTES, COMPLEMENTS ET DIAPORAMAS EN LIGNE ------------

 

Dans cet ouvrage, j'ai voulu montrer que le débat sur la pérennité des professions de la communication était définitivement dépassé puisque celle ci est définitivement acquise !
Les formations doivent viser à la légitimité des fonctions stratégiques, ce qui se traduit par l'entrée des communicants dans les organes de direction. C'est le thème du DIRCOM qui entre au CODIR. Ceci s'observe dans l'évolution des fonctions en trois niveaux distincts : l'opérationnel, le fonctionnel et le stratégique. Un diaporama l'illustre.
Mais pour y parvenir, il faut être très performant d'où des exigences fortes vis-à-vis des formations.
Je montre aussi que les communicants devraient faire combat commun avec les journalistes pour obtenir une véritable application de la clause de conscience, seul moyen de leur assurer la distance stratégique et éthique, indispensables à leur efficacité. Ceci est évidemment lié à mes travaux théoriques sur la distanciation qui offrent un cadre méthodologique puissant.
Pour la première fois, le livre dépasse la question communication externe/interne/mixte pour la poser comme stratégique et globale donc systémique. Il montre que pour être un bon stratège, il faut avoir réfléchi sur les grands concepts de Sun Tzé à Claussewitz ou Jomini, sans négliger des auteurs contemporains sur la notion de menace asymétrique ou d'intelligence collective (diaporama).

Il explicite aussi, pour la première fois en France, le processus de visioning à partir des contributions de Collins, Porras et Latham.

Le livre montre que le stratège doit avant tout interroger l'identité, les valeurs et les images de la structure dans laquelle il exerce, ce qui prouve qu'il n'y a pas de différence de nature entre la communication des entreprises privées ou publiques, ou entre les PME et les petites collectivités territoriales. Leur dircom doit faire partager et vivre les valeurs par l'ensemble des acteurs avec des messages différenciés mais cohérents.

La preuve (que j'administre dans mes formations de Communiquance) en est donnée par les deux schémas ci-dessous, qui concernent la stratégie privée ou publique et montrent comment l'action sur l'identité est longue et complexe mais passionnante.

Enfin, ce livre explique en détail quelques méthodes de visioning empruntés aux travaux américains les plus récents (Collins, Porras, Latham). Il explique le rôle majeur de la communication pour favoriser l'émergence du sens et se trouver ainsi un nouveau challenge au terme duquel se jouera sa crédibilité.

 

 

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Commentaire

 

Sorti pour la première fois en décembre l999, ce livre s'est si bien diffusé qu'il atteint sa troisième édition en 2008. Il synthétise les cursus de communication que j'ai créés (à Angers et Saint-Etienne ou ailleurs) et démontre la pérennité de ces métiers grâce à leur diversité et leur évolution continuelle.

Il valide aussi le bien fondé du positionnement originel de ces formations, à savoir : généralistes de la communication stratégique et globale.

Les journalistes l'accueillent favorablement car il préconise un "combat commun" avec eux pour la clause de conscience.

Les professionnels le citent comme la référence.

Les étudiants s'en servent régulièrement pour leur orientation.

Je l'ai présenté et vais continuer de le faire dans des réunions type"Club de la Presse" ou des radios comme Radio Classique.

Il est signalé comme "indispensable" sur le portail des professionnels de la communication "Tout sur la com"

Ma méthode est toujours la même : trouver des choses originales et utiles à dire par une méthode reconstruisant intégralement la question. Ici, je pars des tâches de base, étudiées sur le terrain et à la faveur des rapports de stage. Elles sont au nombre incroyable de 280 !!!

D'où la conclusion selon laquelle on aura TOUJOURS besoin de bons communiquants !!

La conclusion de 1999 a été l'introduction de l'édition de 2004 : les Dircoms entrent dans les Codirs (Comités de Direction), ce qui veut dire que le nouveau challenge se situe du côté de la légitimité. D'où le fait que les formations devront être très performantes pour répondre à ce nouvel enjeu. C'est pourquoi je proopse la création d'Instituts polytechniques de la communication…

Dans l'édition 2008, l'accent est mis sur la VISION stratégique, entendue comme nouvelle frontière de la crédibilité des communicants.

Beaucoup de nouveautés dans l'édition 2008, avec des schémas, une réécriture complète du chapitre consacré aux formations et une nouvelle présentation de la communication globale encore plus en phase avec la situation actuelle.